Archives de Tag: expressionnisme

Köln

Le Günnewig Kommerz Hôtel - Cologne

Le Günnewig Kommerz Hotel – Cologne

Je suis ravie d’exposer actuellement à Cologne en Allemagne au Günnewig Kommerz Hotel qui jouxte le Musical Dome et offre une vue splendide sur la cathédrale.

Cologne est la ville culturelle et artistique par excellence avec plus de 50 musées, berceau de la musique, elle brille également par son extravagance! Un très bel écrin pour mes « Femmes »…


Errance

Errance - Laurence Wagon

Errance – Laurence Wagon

L’Errance… voyage dans l’inconscient, le subconscient, sources de l’inspiration et par là-même de la création.

Errance… se chercher, se deviner, se découvrir, se retrouver au-delà des mots, des gestes, des présences, des absences pour un accomplissement dans l’exaltation.

L’Errance… pour réinventer la Vie.


Exil

Exil - Laurence Wagon

Exil – Laurence Wagon

L’Exil comme souffle de vie empreint de  ténacité, pugnacité, abnégation, courage et passion.

L’Espoir indéfectible dans l’Ailleurs…


Parlez-moi de vous

Invitée aujourd’hui mercredi 09 avril à l’émission Parlez-moi de vous de Carl Da Silva sur France Bleu Gascogne, à découvrir et écouter sur le lien suivant:

http://www.francebleu.fr/infos/parlez-moi-de-vous/parlez-moi-de-vous-92

Volontaire Laurence Wagon

Volontaire – Laurence Wagon


Exposition Bidart

LaurenceWagon_afficheA3170g_010713Exposition Laurence Wagon: 
Un voyage figuratif… des portraits qui troublent et interpellent.

De fil en aiguille, une exposition qui offre un hymne à la féminité.

À découvrir au coeur de l’été!

Du 09 au 15 août 2013.

Le 09 août: 16H/19H
Du 10 au 15 Août: 10H/19H

Galerie Pili Taffernaberry 
Square Pili Taffernaberry
64210 BIDART(Bourg).


La Gare de l’Art

invit laurence wagon

Une ancienne gare transformée en centre d’art contemporain, c’est le pari original de la Gare de l’Art à St Paul-en-Born dans le département des Landes.

L’originalité est décuplée en accueillant du 23 Février au 03 Mars 2013 l’exposition Laurence Wagon!Gare de l'Art

« Quoi de plus drôle, touchant, à propos et complètement sur les rails que de vous inviter à venir partager l’entrée en Gare de Laurence WAGON !!! Les cheminots vous attendront de pied ferme samedi 23 Février à partir de 11h30 pour ouvrir notre saison…… à toute vapeur!!!
La Gare s’est faite une blanche beauté pour accueillir dignement les tableaux de Laurence… donc à samedi… »

Ceux qui sont tout près sont bien entendu les bienvenus, pour ceux qui sont un peu plus loin je vous raconterai…562972_412933195458637_1737108896_n-1


Âme

« Vos toiles ont un pouvoir, elles libèrent l’âme » Soazig

Témoignage recueilli lors de mon exposition à la Galerie des Corsaires à Bayonne au mois de mai, touchant et émouvant, des rencontres hors du commun, le temps suspendu…

Exposition Galerie des Corsaires – Bayonne


Exposition

Exposition Laurence Wagon à la Galerie des Corsaires à Bayonne du 19 mai au 1er Juin 2012.

Horaires d’ouverture: de 15h à 19h du lundi au vendredi, de 10 h à 19h samedi et dimanche

Info: 06 89 89 38 59

Adresse: 16 rue Pontrique (Petit Bayonne, derrière le Musée Basque) – 64 100 Bayonne

Je serai présente chaque jour à la Galerie pour vous accueillir!

A très bientôt…

Après des études en Arts Plastiques aux Beaux-Arts de Lille et une maîtrise d’Histoire de l’Art à l’Université, j’ai réalisé et participé à de nombreuses expositions en France et à l’étranger, installations in situ, commandes et projets artistiques spécifiques.

Ma recherche picturale se situe autour de la Féminité. J’aime la matière, l’intériorité des êtres, l’abstraction dans la figuration.

Mes toiles mêlent peinture et broderie et sont un hommage à la combativité, la beauté, la fragilité, la sensualité des Femmes.

L’exposition présentée à la Galerie des Corsaires est un voyage dans l’expression ponctué de surprises et découvertes…

 


Jeanne O’Contemporain

Jeanne – Laurence Wagon

600 portraits de Jeanne d’Arc à travers l’étonnante et spectaculaire exposition « Jeanne O’Contemporain » à Orléans les 4, 5 7 et 8 Mai 2012 

À l’occasion du 600ème anniversaire de Jeanne d’Arc, la ville d’Orléans et l’association Jeanne O’Contemporain présentent 600 portraits  artistiques. Cette galerie de portraits sera projetée quatre soirs sur écran géant.

La moitié des créations présentées ont été réalisées par des artistes contemporains, l’autre moitié provenant de collections publiques et privées.

Les artistes ont été appelés à exprimer leur vision contemporaine du personnage historique de Jeanne d’Arc. Les 300 artistes plasticiens sélectionnés proviennent de tout l’hexagone mais aussi des 4 coins du monde: Japon, Canada, Pologne, Écosse, Bénin, Allemagne, Espagne…

300 000 visiteurs sont attendus à Orléans. Les représentations publiques se dérouleront les 4, 5, 7 et 8 Mai de 21H30 à minuit face à l’Hôtel Groslot, place de l’Etape à Orléans. Un écran géant permettra de découvrir à travers des projections d’une quarantaine de minutes les 600 portraits sélectionnés. Un catalogue sera  édité présentant l’ensemble des oeuvres exposées.

« Jeanne » et moi-même avons été sélectionnés. « Jeanne » est l’un des 600 portraits et sera donc en grandiose représentation à Orléans!


Anaruz

Djamila - Laurence Wagon

Les Marocaines dans la rue 

Une semaine après le suicide d’une adolescente contrainte d’épouser son violeur, plusieurs associations féminines marocaines ont organisé samedi à Rabat un sit-in envers les femmes.

« Nous sommes des Amina », « Halte aux violences contre les femmes », « Abrogez la loi » scandaient les militantes et sympathisantes de ces associations des droits de la femme, rassemblées à l’appel de Woman-Shoufouch, un groupe et réseau social anti-harcèlement.

Les femmes, au nombre de deux cents au début du rassemblement, brandissaient des banderoles réclamant l’abrogation ou la refonte d’un article du code pénal qui punit le violeur d’emprisonnement si la victime est mineure, sauf en cas de mariage. En cas de mariage, consenti par les parents de la fille violée, l’agresseur n’est plus poursuivi par la justice.

Electrochoc

« Amina martyre », « La loi m’a tuer », « Mettons fin au mariage des mineures », pouvait-on lire sur les pancartes tenues par des militantes de plusieurs associations féminines, rassemblées sous la houlette de la Fédération de la ligue démocratique des droits des femmes.

« Amina et les autres, victimes de l’article 475 du code pénal », lisait-on sur une banderole d’Anaruz, mot berbère qui signifie espoir. Anaruz est un mouvement d’écoute des victimes d’agressions sexuelles qui travaille en coordination avec l’Association démocratique des femmes du Maroc (ADFM).

« En 2008, le gouvernement avait déposé un projet, qui est resté lettre morte, pour réclamer la refonte du code pénal en vue de mettre fin à la discrimination et à la violence », a indiqué à l’AFP Houda Bouzil, présidente du bureau de Rabat de l’ADFM.

Le suicide le 10 mars d’Amina Al Filali, 16 ans, contrainte d’épouser l’homme qui l’avait violée, a fait l’effet d’un électrochoc au Maroc où se sont multipliés les appels à la réforme d’une loi qui bénéficie le plus souvent davantage au violeur qu’à sa victime.

« Je ne voulais pas aller avec eux chez le juge pour les marier. Mais ma femme m’y a obligé. Elle m’a dit qu’il fallait le faire pour que les gens arrêtent de se moquer de nous, pour faire taire la honte », a déclaré il y a quelques jours à l’AFP le père de la victime, Lahcen Al Filali, présent à un premier sit-in dans la localité de Larach, près de Tanger (nord) d’où la famille est originaire.

Nouvelle Constitution

« Est-ce qu’on peut imaginer qu’un homme qui force une fille à le suivre avec un couteau et qui la viole peut ensuite vouloir l’épouser? »,a-t-il demandé.

Cette affaire est révélatrice des contradictions d’une société à la fois traditionnaliste et aspirant à la modernité, comme en atteste la nouvelle Constitution adoptée en juillet, qui prévoit l’égalité des sexes et bannit « toute discrimination ».

Ce drame continue de susciter diverses réactions dans le pays, y compris au sein du gouvernement qui a promis un réexamen de la loi.

« C’est la loi, une règle sociale absurde, grotesque, que celle qui veut remédier à un mal, le viol, par un autre encore plus répugnant, les épousailles avec le violeur (…) Qui punissons-nous au final, la victime ou son bourreau? », écrit le journal Al Sabah (Le matin, indépendant) dans un long éditorial.

Un article du code de la famille prévoit que la décision du juge autorisant le mariage d’un mineur – comme cela a été le cas dans cette affaire – n’est susceptible d’aucun recours.

L’époux de l’adolescente a été entendu par la police, après le suicide de sa femme qui a absorbé de la mort aux rats, et laissé en liberté.

Libération, 18 Mars 2012